Le sport est-il l'opium du peuple ?
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D’après moi, le sport est l'opium, oui, mais pas celui du peuple. Chaque personne est différente et chaque personne traverse sa vie différemment… Pour certain·e·s, le sport est libérateur. Il nous permet de nous décharger, autrement que par la parole. Plus on trouve refuge dans le sport, plus on évolue et moins on veut parler du pourquoi du comment on s’est tourné vers l'une ou l'autre discipline. À travers le sport, on atteint nos propres objectifs, peu importe le temps que ça nous prend, les efforts que ça nous coûtent, tant qu'on les atteint. Plus nos efforts paient, plus notre but se rapproche, plus on voit que l’on peut se dépasser. Alors à ce moment-là, le sport devient plus qu’une drogue. Une addiction, celle du jeu, celle du plaisir, celle du désir. Substance qui anesthésie les pensées douloureuses ou qui réveille les sens, là subsiste la controverse.
Le sport est un aspect important de la manipulation des masses.
C'est le match le plus mythique de l'histoire. Celui qui a fait entrer le jeu d'échecs dans les foyers et donné à cette discipline un dimension unique.
Et voilà qu'une paire de gants fait tomber le masque.
Il m'a dit qu'aucune femme ne pouvait courir le marathon de Boston.